Notre histoire

Le restaurant

Le Sambre & Meuse

Restaurant familial depuis près de 40 ans, le Sambre & Meuse s’est développé au fil du temps par un passage de flambeau de père en fille et beau-fils. Tristan le fils unique de la famille a depuis peu rejoint l’entreprise et exploite principalement le bistrot Chez Cabu jouxtant le restaurant.

Jolie cantine nichée au cœur même de la belle place de Gerpinnes dans une bâtisse datant de 1812, le restaurant vous accueille dans un cadre authentique et soigné.

Dans une ambiance simple, décontractée et bon enfant,  au Sambre & Meuse, il n’y a d’autre ambition que de vous proposer une cuisine sincère, gouteuse et généreuse, tout en étant arrosée de bons vins ou d’une bonne bière Sambre-et-Meuse, ambrée ou blonde, créée par le patron, Laurent.

Pressé ou pas, seul ou entre amis,  franchissez la porte du restaurant et nous mettrons tout en œuvre pour vous donner l’envie d’y revenir

La région

Gerpinnes

Gerpinnes est un bijou  posé sur un écrin de verdure… Gerpinnes  dont  les plaines, châteaux, vieilles fermes, chapelles et potelles,  côtoient, à l’ombre d’anciennes bâtisses,  les œuvres d’un peintre impressionniste. Gerpinnes  où les eaux d’un ru sautillant  murmurent la poésie d’un poète disparu, où les jours de grand vent les chênes séculaires  hurlent l’histoire d’une sorcière brûlée sur le bûcher. Gerpinnes aux  matins brumeux,  d’où surgissent  des mânes en pantalons blancs et tuniques chamarrées, qui marchent  au pas cadencé,  sous le couvert  d’un fifre  évaporant  des triolets mélodieux vers les cieux. Gerpinnes, aux confins de la ville, s’apprécie aux charmes de ses placettes, vous invite aux tables des terrasses de bistrots, à la convivialité des restaurants.  Dans le dédale des sentes et ruelles de nos villages, d’agréables surprises vous attendent : pompes anciennes, sculptures d’art, fontaines charmeuses, manoir et ferme en carré, ou tout simplement un banc où se reposer… Gerpinnes chante une ode à la douceur et au bien-être !   

La région

Le folklore des marches

Lorsque vient le printemps, il est en nos villages un chant mélodieux, celui du fifre qui perce la brume et titille l’âme du marcheur. Alors, des silhouettes d’une autre époque apparaissent dans nos plaines et valons. Les murs des vielles cités tremblent sous les roulements des tambours. Bientôt, le jour donne aux costumes des Premier et Second Empires tout leur éclat. Le lundi de Pentecôte, dès 3h du matin, les Rolendiens honorent leur Sainte. Princesse Lombarde et fille du Roi Didier, Rolende meurt d’épuisement sur le chemin de l’exil et de la foi vers 774-776, à la ferme de Villé (Villers-poterie), sur les terres gerpinnoises. Sa dépouille est à l’origine de plusieurs miracles et en 1103, Otbert, Prince-Evêque de Liège, reconnait officiellement sa sainteté. Depuis ce jour une procession s’est développée…  La ferveur est au rendez-vous. C’est une fusion extraordinaire mêlant à la fois le sacré et la fête populaire.